Scandale : le génome de Marine le Pen contiendrait 32% d’ADN d’origine nord-africaine

Un nouveau scandale, cette fois à base moléculaire, secoue actuellement la campagne présidentielle française : la composition du génome de la candidate du Front National Marine Le Pen vient en effet d’être publiée, à son insu, dans la revue américaine « Political DNA », spécialisée dans l’analyse des gènes des hommes politiques du monde entier. Cette revue a  notamment récemment révélé que l’ADN du nouveau président Donald Trump serait à 50% d’origine féminine. Le test effectué par la compagnie, qui a pour but de déterminer les origines ethniques d’une personne, est dit autosomal : il s’agit d’analyser les chromosomes non-sexuels d’une personne et de les comparer à des profils génétiques correspondant à des populations du monde entier.

Et les résultats sont édifiants : le génome de Marine le Pen contient certes, comme attendu, une partie importante d’ADN breton et landais, mais également pas moins de 32% d’ADN d’origine nord-africaine. Même si l’origine de cet ADN reste inconnue, cette révélation est une vraie bombe dans cet entre-deux tour de la Présidentielle française, la plupart de l’électorat du Front National refusant de voter pour une candidate avec un tel génome. A noter également, même si cela est moins surprenant, une proportion d’ADN allemand et d’ADN d’homme de Neandertal bien au-dessus des proportions moyennes observées sur notre territoire.

Marine Le Pen crie à la manipulation et à la contamination, et a annoncé son intention de porter plainte, le prélèvement de son ADN ayant été obtenu à son insu à partir d’un chewing-gum mâché pendant le débat d’entre-deux tours. Elle n’a bien entendu pas non plus autorisé la publication des résultats de l’analyse, qui représente donc une violation claire des droits d’accès à une information génétique personnelle. A noter qu’un expert scientifique, mandaté par Madame Le Pen pour effectuer un contrôle d’ADN chez son père Jean-Marie Le Pen, a été reçu à coups de fusil.

Le génome du candidat d’En Marche Emmanuel Macron a été également analysé dans les mêmes conditions pour tenter d’y retrouver des traces d’ADN de pauvre. En vain.

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